Munich au jour le jour, et autres petits voyages

Encore un week-end à sensations fortes :-)
Au programme, c'était "Pimp mon balcon"*. On le regarde beaucoup depuis quelques mois, puisque c'est au salon que se prennent/donnent les biberons. Nos géraniums commencaient à faire une drôle de tête, il était donc urgent d'agir.

Alors, après une dernière petite toilette, j'ai remisé les géraniums à la cave (combien seront encore en vie quand on les ressortira au printemps? Vous pouvez commencer à prendre les paris. Cette année, on a eu 50% de succès - ou d'échec, c'est pareil).
Nous nous sommes mis à l'heure allemande et, copiant allègrement les petites mamies du quartier, j'ai planté fièrement bruyère et autres plantes résistant (soi-disant) à l'hiver. Rien qu'à les regarder, là, à l'intérieur, bien au chaud sous notre plaid (gracieusement offert par notre employeur l'année dernière, avec son nom même pas écrit en gros en plein milieu - c'est pour ça qu'on a aucun scrupules à s'en servir) on perd 2°C et le thé n'en semble que plus chaud.








Maintenant, il va falloir qu'on se méfie. Certaines personnes mal-intentionnées vont peut-être s'imaginer qu'un tel balcon ne peut qu'appartenir à des gens assez âgés pour cacher les économies de toute une vie en petites coupures sous leur matelas. Va-t-il falloir qu'on ferme notre porte à clé? A Munich??

*En fait, je mens. C'était le programme de la semaine dernière. Ce week-end, si vous vous rappelez bien mon post précedent, il a neigé. J'allais pas faire du rempotage sous la neige quand même. Ce week-end ci, j'avais prévu de vous vanter le footing en famille (poussette double inclue et photos à l'appui), mais comme on est des chochotes, on est restés au chaud à regarder la neige fondre. Alors je fais du recyclage et de la chronologie créative.

Libellés : ma vie mon balcon

Décidément, on dirai bien que j'ai encore un train de retard.
Je poste aujourd'hui une jolie photo d'automne et paf! Quelques heures après, il neige... Simple coïncidence? Humm

Enfin, l'info, c'est tout de même qu'il neige. Heureusement, on a eu la bonne idée de laisser les pneus d'hiver sur la voiture tout l'été donc on est prêts.
Et les supermarchés vendent déjà des père-noël en chocolat et des décorations donc ils ne seront pas pris au dépourvu si le 25 décembre tombait en avance cette année (sait on jamais). Ya juste les sapins qu'on a oublié de prévenir je crois...



Edit du 22.10.2007: ce week-end, la tendance s'est confirmée, il a encore neigé (pour preuve, les photos). L'hiver est donc en avance... enfin, pas tant que ça si on considère que l'automne a commencé en juin

Libellés : de la pluie et du beau temps

Voilà, une grossesse et deux petits lutins plus tard, une autre Oktoberfest est passée. C'est maintenant l'automne et un petit vent de rentrée souffle auquel je n'ai pas résisté.
Je viens de reprendre le travail, ce qui signe également mon retour dans la blogosphère!

Alors bon, question voyages, ça va être sacrément moins dépaysant qu'avant. On revient dans la droite ligne éditoriale et on se recentre sur Munich. Et on est bien centrés là, avec notre éternelle twingo pour transporter tout ce petit monde, et ça ne va pas changer de si tôt.
Donc à la place de mes équipées sauvages aux quatre coins de munich, de la bavière, de l'europe et même un peu plus loin parfois, vous allez avoir droit aux tribulations d'une "mariée, deux enfants" à munich (ce qui n'est pas une mince affaire, quand aucun des dits enfants ne marche).
Bref, on va s'intéresser aux petites choses près de chez nous et à ce qui intéressera les enfants... c'est à dire pas grand chose pour l'instant :-) (vive les peluches et les biberons). Enfin, on commence bientôt les fruits et les légumes: au lieu de la montagne, préparez-vous aux natures mortes*!

*Enfin, rassurez-vous, ce blog ne va tout de même pas tourner en blog cuisine non. Si quelque chose doit changer, on va plutôt se tourner vers l'aigreur et l'humour noir - genre "je suis dans le métro avec ma poussette double et l'ascenceur ET l'escalator sont cassés". Bref, de belles péripéties en perspective

Libellés : on s'en fout